Opération "Liberté" - "Caporal" arrêté par les carabiniers. Il a recruté des compatriotes pour les exploiter

Il recruta des compatriotes puis les exploita dans les champs dédiés à la culture de produits agricoles de la province de Rome. Pour cette raison, les carabiniers de la Compagnia di Colleferro, avec la collaboration des collègues du Commandement des carabiniers pour la protection du travail de Rome, ont notifié une ordonnance de garde à vue à l'encontre d'un citoyen bengalais des années 46, afin de: le permis de séjour et avec les précédents, parce qu'il est accusé du crime de courtage illicite et d'exploitation du travail.

Les avoirs en information des carabiniers de la gare de Valmontone, ainsi que les compétences spécifiques des carabiniers de l'inspection du travail de Rome, conformément à l'inspection territoriale du travail de Rome, placés sous la direction du parquet de Velletri, ont été placés dans Il s’agit d’une enquête minutieuse qui nous a permis de découvrir comment le "caporal", après avoir recruté quatre de ses compatriotes, des années 24 aux années 51 et en possession du permis de séjour et du recensement, les utilisait sur des terres agricoles confiées à concession à la société dont il était de facto administrateur, les soumettant à des conditions d'exploitation, profitant de l'état de besoin dans lequel elles se présentaient.

Les informations recueillies par les carabiniers de la station de Valmontone ont permis de mener une activité d’inspection dans la ville romaine. Sur un terrain de 25000 dédié à la culture de légumes mélangés et de chanvre indien, l’armée a saisi deux artefacts délabrés, sans revêtement les quatre travailleurs bengali ont été contraints de rester sans eau ni lumière et sans les conditions d'hygiène et de sécurité les plus élémentaires.

Grâce à une longue traque, de jour comme de nuit, de piétons, à l'exhortation de témoins, les carabiniers ont montré comment, pendant plus d'un an, le "caporal" et les utilisaient en "noir", en les rémunérant clairement en espèces. différent du salaire prévu par la convention collective nationale, il enfreint les règles en matière de travail et de repos hebdomadaire, ainsi que de sécurité et d'hygiène du travail, faussant en fait le marché en général et la concurrence dans le secteur.

Les carabiniers de Valmontone et de l’Inspection du travail ont spécifiquement attesté que les ouvriers étaient effectivement employés onze heures consécutives par jour et sept jours par semaine sans prendre le repos hebdomadaire prévu avec un salaire inférieur à vingt euros par jour, ainsi que ils ont été soumis à l'examen médical préventif prévu au travail. Les carabiniers ont bien démontré les conditions inhumaines dans lesquelles les agriculteurs ont été montrés. Ils ont confirmé que ces derniers s’étaient réfugiés au bar voisin pendant la saison froide pour pouvoir «se nourrir» au chaud jusqu’à la fin de l’exercice et s’approvisionner. d’eau pour les premiers besoins, à la fois pour la nourriture et l’hygiène, ils ont été obligés, au lieu de cela, d’utiliser celle du cours d’eau adjacent à la "cabane" délabrée où ils vivaient.

Ces tests ont été suivis par ceux d'une nature spécifique. En ce qui concerne l'entreprise agricole qui n'a pas adopté de modèles d'organisation et de gestion appropriés et qui a indûment bénéficié d'avantages économiques indéniables, les Carabinieri ont saisi des comptes courants pour la valeur de 73.500 euro.

Pour le caporal, les portes de la prison de Velletri ont été ouvertes et restent à la disposition des autorités judiciaires.

Opération "Liberté" - "Caporal" arrêté par les carabiniers. Il a recruté des compatriotes pour les exploiter

| CHRONIQUES, PREUVE 4, RM30 |