ascension continue, Confindustria et SRM, midi check-up: se concentrer sur les investissements même dans 2018

Continuer l'ascension du Sud, dirigée par ses exploits: Ceci, en bref, l'image qui se dégage de vérifier la mi-année Confindustria et SRM (centre de Intesa Sanpaolo) Groupe d'études consacrées à l'économie et la société du Sud. Après une 2015 qui a augmenté les régions du Sud plus que la moyenne nationale, les avancées relatives à 2016 confirment la tendance de croissance modérée, qui devrait se poursuivre dans la première partie du 2017.
Cette tendance est confirmée par l'Indice synthétique de l'économie du Sud, préparé par Confindustria et SRM, qui présente tous les indicateurs de croissance (comme déjà fin 2016). En particulier, la croissance du PIB se poursuit (+ 0,9% en 2016), à des niveaux pas très éloignés de ceux de 2015 (+ 1%), tirée par l'industrie au sens strict (dont la valeur ajoutée a augmenté en 2016 3,4%, plus de 2 points de plus que la moyenne nationale). Quatre indicateurs sur cinq, à l'exception des exportations, sont cependant encore inférieurs aux niveaux d'avant la crise.
Elle renforce le taux de natalité des entreprises: le nombre d'entreprises actives, au cours des trois premiers mois de l'année, la croissance des unités 8mila plus (+ 0,5%), la tendance encore plus importante par rapport à une baisse simultanée dans le reste du pays (- 0,3%). En particulier, l'augmentation continue des sociétés par actions (+ 16 2017 mille au premier trimestre par rapport à la même période l'an dernier), deux fois plus vite que dans le Centre-Nord, un signal clair de renforcement du tissu productif.
Un autre signe « plus » fait enregistrer le nombre de jeunes entreprises innovantes (+ 29,1 2017% au premier trimestre par rapport à la même période l'an dernier), une meilleure figure que celui enregistré dans le Centre-Nord (+ 25,7%), avec une tendance positive qui affecte toutes les régions du sud de l'Italie. Positifs sont également données sur les entreprises en réseau (1.000 plus en six mois seulement) qui augmentent à un taux, dans ce cas, supérieure à celle du Centre-Nord.
le chiffre d'affaires croissant des entreprises, non seulement celle des grandes mais aussi, pour la première fois depuis la crise a commencé, celle des petites entreprises (+ 0,6%), épine dorsale de la fiche du système de production nationale, mais surtout du Sud, dont représentent plus de 90% de toutes les entreprises.
Les signes positifs pour les entreprises, notamment manufacturières, sont également confirmés par la tendance à l'exportation: sur les trois premiers mois de l'année, elle s'est élevée à 10,3 milliards dans le Sud, enregistrant un + 12,7% par rapport au même trimestre de l'année précédente - meilleur résultat que la moyenne nationale (+ 9,7%) - portée par la forte reprise des produits de raffinage (+ 68,9%) et des produits chimiques (+ 35,1%), par l'exportation de machines (+ 10,1%) et pharmaceutiques (+ 8,1%).
tendance claire et plus est, en particulier, la performance de l'industrie des machines, où le bilan consacre une profondeur spécifique: un secteur qui, bien que toujours faible dans le Sud (environ 2.000 entreprises), a enregistré une augmentation du chiffre d'affaires (+ 7,3%) plus de deux fois la moyenne nationale (3,4%), ainsi que des employés, a grandi dans le Sud (+ 2,7%) presque le double de la moyenne italienne (+ 1,4%). Au sein de l'industrie, de plus petits nombres, mais aussi et peut-être plus flatteur, il est le secteur des machines outils, dont les exportations ont augmenté dans le Sud (principalement en Allemagne et aux États-Unis) dans la période 2012-16 2,4% en moyenne, comparativement à une baisse dans la plupart des pays européens et dans la même moyenne nationale (-2,9 de%). Il améliore, en particulier, la quantité et la qualité des machines installées dans les entreprises du Sud. Selon les données de UCIMU, l'association Confindustria qui représente les fabricants de machines-outils, particulièrement importante est la part du robot sur le nombre total de machines installées, un montant dans le sud de 14%, par rapport à une moyenne des autres régions qui s'arrête à 7,4%.
Ce sont des chiffres positifs, bien que toujours limités à un petit nombre d'entreprises de premier plan, qui affichent les mêmes - sinon meilleurs - résultats que ceux du reste du pays. L'enjeu est donc de renforcer le groupe de tête, en privilégiant les investissements en premier lieu, dont le niveau est pourtant encore trop bas, ayant baissé de près de 44% depuis 2008 et de 37% dans le seul secteur manufacturier. Le revirement timide de l'année dernière (+ 0,8%) est de bon augure, mais l'écart par rapport aux niveaux d'avant la crise est encore très élevé. Par conséquent, les modifications apportées en 2017 au crédit d'impôt pour investissements dans le Sud étaient particulièrement opportunes, ce qui pourra dès le second semestre stimuler les investissements des entreprises.
Ils reviennent au Sud d'abandonner leurs prêts totaux (-1,2% au deuxième trimestre 2016) et l'intensité de crédit (le ratio des prêts au PIB) a enregistré un freinage inattendu (seulement expliqué en partie par la croissance modérée du PIB lui-même). Ainsi, alors que le profil de risque de l'industrie tend à améliorer progressivement, l'expansion de la demande de crédit ne peut pas être complètement satisfait de détente, bien visible, les conditions appliquées pour la fourniture de crédit.
Parmi les secteurs, ainsi que le tourisme et la culture se développe, en effet, la présence de touristes étrangers dans les régions du sud, ce qui dépasse les unités 10 millions, et leurs dépenses, ce qui dépasse 3,6 milliards d'euros, grâce à une les performances des ports et aéroports du sud reste positive. Pour attirer les visiteurs est le grand musée du patrimoine archéologique et dans le sud qui a enregistré plus 10 2016 millions de visiteurs, soit une augmentation du chiffre d'affaires de près 19%.
L'emploi se développe à partir il y a un an (+ 1%), mais avec un rythme plus lent ces derniers mois: une sonnette d'alarme qui ne doit pas être négligé, surtout compte tenu du nombre important perdus pendant la crise, récupéré que partiellement, et compte tenu de l'incitation pour les contrats ouverts à composition non limitée qui en bénéficient (les seules 2017) les entreprises situées dans les régions du sud, incitation qui a déjà facilité le recrutement de plus 55 5 milliers de travailleurs dans les premiers mois de l'année. Le chômage reste élevé (21%) et en fait est de plus en plus en raison de l'augmentation des personnes qui reviennent sur le marché du travail à la recherche d'emploi: reste, en particulier, le chômage élevé chez les jeunes (56,3 de%) à un double niveau par rapport aux régions du Centre-Nord. Alors à quelle hauteur reste le nombre de NEET, les jeunes qui n'étudient pas et ne fonctionnent pas: ils sont 1 millions 800 mille dans le Sud (plus de la moitié de la moyenne nationale), et ceux-ci sont bien 800 milliers qui n'ont même pas un titre étude. Au point: du Sud, plus encore que dans le Nord, une intervention pour soutenir l'accès des jeunes au travail est cruciale et ne plus être retardée.
L'accélération des processus de croissance est, en somme, nécessaire pour que l'économie du Sud récupère rapidement le terrain perdu. Les écarts de compétitivité avec le Centre-Nord pèsent encore lourd et la capacité de production détruite, la tendance des dépenses publiques d'investissement - d'abord infrastructurelles - qui n'accompagne pas cette tendance, l'offre de crédit qui peine à suivre la demande, en particulier des entreprises. Cependant, les signes de vitalité de ces dernières années se font de plus en plus intenses et de plus en plus généralisés, surtout grâce à la capacité concurrentielle (sur le marché domestique et en concurrence internationale) d'un noyau d'entreprises fort qui devient progressivement plus cohérent.
Il existe trois principaux défis pour le Sud: encourager les naissances d'entreprise, afin de rétablir les fils d'un système de production dans lequel la crise a largement ouvert vide; soutenir le renforcement, la croissance dimensionnelle, l'innovation et l'internationalisation des entreprises existantes, afin de faire en sorte que le noyau solide est consolidée et la diffusion; augmenter la quantité (et la qualité des investissements publics) dépenses à un niveau réellement en mesure d'avoir des impacts réels sur les taux de croissance, soutenir la vitalité des entreprises.
Comment faire? Du côté des entreprises, les mesures déjà en vigueur (comme le crédit d'impôt et l'hyper-amortissement) vont dans le bon sens, ainsi que celles en construction, comme le décret sud, en cours d'examen par le Parlement, avec ses propositions de création de nouvelles entreprises par les jeunes ou la ZES (Zone Economique Spéciale).
Les programmes opérationnels et la mise en œuvre du Patti Masterplan sont, dans ce sens, quelques bons points de départ. Mais tout aussi important est une intervention visant à renforcer le cadre de la fabrication du Sud. Au besoin Sud, plus que jamais, une politique de cohésion plus simple et plus efficace, plus ciblée, capable de soutenir le renforcement et l'innovation de la base de production et le dépassement des écarts de compétitivité des territoires. L'accélération de l'utilisation des ressources, la pleine efficacité des structures de gestion et de contrôle, ce qui réduit le risque d'une utilisation inefficace des fonds déjà dans le cycle de programmation en cours, sont les premières et les cartes les plus urgentes à jouer pour renforcer notre crédibilité pour la programmation future.

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