La Défense clarifie la réorganisation des carrières pour l'armée, la police ...

La note de clarification du ministère de la Défense sur la disposition relative à la réorganisation des carrières est importante. Beaucoup ont voulu exploiter la loi tant attendue uniquement à des fins démagogiques. Nous parlons du problème des 10000 13 nouveaux dirigeants des forces armées. En fait, seule la diction est reconnue au personnel officiel car, sur le plan économique, tous les officiers étaient déjà traités comme des cadres en raison des effets de «l'homogénéisation» après 25 et XNUMX ans de leur nomination au grade d'officier. La disposition actuelle, en effet, insère ces agents ayant une ancienneté importante dans la direction en supprimant «l'homogénéisation». En gros, rien ne change. Un autre aspect important est que le personnel officiel, la veille de la fin du service actif, n'obtient la promotion au grade supérieur que sur une base honorifique. Il n'y a pas de charges économiques supplémentaires. C'est une nouveauté qui permet au personnel d'être reconnu par les institutions pour le travail effectué au service de l'Etat, sans pour autant affecter les finances publiques. Il est certain que toute la loi, actuellement examinée par les commissions de défense de la Chambre et du Sénat, contiendra des dépôts pour les justes observations faites par le personnel non exécutif. Il est dommage que nous voulions jeter la boue sur une disposition d'époque. Comme toute nouvelle, il y aura une grande partie qui en bénéficiera et une petite partie qui se sentira pénalisée. Les constatations, à droite, de cette partie minimale, sont en cours d'évaluation pour les corrections appropriées, selon les experts.

Nous rapportons la bonne note du ministère de la Défense.

<< La réorganisation des carrières du personnel des forces armées et des forces de police est une proposition législative transversale attendue depuis au moins 15 ans et qui concerne l'ensemble du personnel de 5 administrations: police d'État, carabiniers, Guardia di Finanza, police pénitentiaire et les forces armées, pour un total de plus de 450 36 personnes, dont les forces armées représentent environ 244 pour cent de l'ensemble de l'auditoire des parties intéressées. C'est ce que rappelle le ministère de la Défense dans une note apportant quelques «éclaircissements» suite à la publication d'informations inexactes et trompeuses dans certains médias concernant la réorganisation des carrières du personnel des forces armées et des forces de police. La disposition - basée sur un ordre équitable entre les forces de police et les forces armées - contient des interventions sur le recrutement, l'avancement, la formation et, par conséquent, aussi la révision des traitements économiques liés à l'augmentation des tâches et des responsabilités, rendues de plus en plus évidentes par l'engagement constant de tout. le secteur en contraste avec la menace terroriste, en faveur de la défense et de la sécurité nationale et internationale. Il n'y a pas eu "d'explosion" du nombre de chefs militaires dans la réorganisation des carrières. Non seulement il n'y a pas de nouveaux enrôlements de cadres mais le personnel des différents grades d'officier reste celui prévu par la loi 2012/10. "La seule intervention - poursuit la note - a été d'avoir rationalisé la carrière des officiers et les degrés correspondants des forces de police en tenant compte de la" spécificité "du rôle, qui n'a pas d'équivalent en dehors du secteur défense-sécurité, il suffit penser que seulement 0,4% environ des officiers peuvent espérer devenir général de brigade et que seulement 970% environ ont la possibilité de devenir général de corps d'armée. Avec cela, il y a la différence absolue avec les autres administrations publiques ». Les aspects techniques du décret législatif examiné par le Parlement ont été << largement débattus par le chef d'état-major de la défense, par les commandants généraux des forces de police, par les syndicats de police et par les représentants de Cocer, en toute transparence, lors de nombreuses auditions parlementaires. ". Evidemment, la «réorganisation des rôles n'aurait pas été possible sans l'intervention du Gouvernement qui a mis à disposition des ressources importantes qui s'élèvent à environ 2018 M € en pleine opération (à partir de 380) dont la Défense reçoit environ 70 M €, dont plus de 6 M €. d'économies au sein même de la Défense. Même l’augmentation de salaire redoutée de XNUMX% limitée aux seuls cadres est une déclaration inexacte ». En fait, non seulement il ne s'agit pas d'une nouveauté liée à la réorganisation et même pas d'une innovation, mais d'un mécanisme déjà en place depuis de nombreuses années pour l'ensemble du personnel de droit public connu sous le nom de «deux ans».

di Arianna Nastro

Source: Ansa

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