Le journal britannique The Sun a révélé le mystère du crash du F-35B juste après son décollage du porte-avions britannique HMS Queen Elizabeth.
L'avion faisait partie d'un groupe de huit F-35B britanniques embarqués avec 10 autres F 35B appartenant à l'US Marine Corps Marine Fighter Attack Squadron 211. Le pilote s'est éjecté et a été secouru et ramené à bord. Au lendemain de l'accident, le secrétaire à la Défense Ben Wallace, cité par le correspondant de la BBC Jonathan Beale, a fourni quelques détails supplémentaires, affirmant que le F-35 a coulé peu de temps après avoir décollé du porte-avions et que les opérations de vol et l'entraînement à bord du HMS Queen Elizabeth a continué malgré l'incident.
En fait, l'activité de vol n'a pas été interrompue et tous les F-35B, y compris ceux du Corps des Marines des États-Unis, de la Marine et de l'Armée de l'Air italiennes, ont participé à un important exercice conjoint en Méditerranée. Le journal anglais précise que la housse de pluie, d'une valeur de quelques euros, a causé des dégâts de 100 millions d'euros.
L'erreur des agents de bord a causé la perte de l'un des avions militaires les plus chers de l'histoire de l'aviation, mais aurait pu entraîner la mort du pilote et d'autres soldats sur le pont du porte-avions.
En attendant que les enquêtes de la commission apportent des précisions et des confirmations sur les premières suppositions, les opérations de récupération du F-35B sont toujours en cours dans une course contre la montre pour empêcher les Russes et les Chinois de voler les secrets de l'avion de cinquième génération. à l'écoute du monde, la fierté d'un consortium clairvoyant de pays occidentaux, dont l'Italie en précurseur.