Le MIM revient pour préciser l'origine des fonds pour le financement du décret législatif "Caivano"

"Financé avec des fonds qui ne peuvent pas être utilisés pour des interventions dans la construction d'écoles et ne peuvent plus être utilisés pour les écoles inondées, pour lesquelles toutes les demandes reçues ont déjà été acceptées"

En référence aux déclarations d'aujourd'hui du Président de la Région Émilie-Romagne Bonaccini et du Maire de Ravenne, en réitérant ce qui a déjà été clarifié par le Ministère dans le communiqué du 18 septembre 2023 concernant les ressources utilisées pour assurer la couverture financière de l'extraordinaire interventions du Décret Sud, il faut réitérer que toutes les demandes reçues des écoles touchées par l'inondation ont été pleinement acceptées.

Il faut ensuite ajouter que les ressources financières utilisées pour couvrir le décret-loi du Sud ne sont pas qualifiées de dépenses d'investissement et n'ont donc pas un caractère pluriannuel et n'ont en outre pas et n'auraient eu en aucune manière la possibilité de être maintenu au bilan dans les années qui suivent celle en cours. Il s’ensuit que les ressources en question ne présentaient pas les caractéristiques comptables nécessaires pour financer les interventions des autorités locales en matière de construction scolaire. Les allocations budgétaires en discussion, qui étaient plutôt imputables aux dépenses courantes, ne pouvaient être utilisées que pour des dépenses à engager dans un délai très court, comme l'a rapidement assuré le ministère.

Et en effet, il est rappelé que ces interventions, par disposition expresse de la loi, étaient recevables à la date du 31 août, car elles étaient légalement liées à la première phase d'urgence, dans laquelle les établissements d'enseignement pouvaient également agir en utilisant d'importantes simplifications procédurales.

Aux fins de l'attribution du Fonds précité, le Ministère a acquis les besoins préalables auprès des établissements d'enseignement intéressés, ce qui a donné lieu à un cadre global de besoins de 10.174.736 31 9.825.264 €. Il s'ensuit qu'une fois les besoins exprimés par les écoles touchées par l'inondation pleinement satisfaits et le délai du XNUMX août expiré, la part du fonds non utilisée dans le cadre de la dotation précitée, égale à XNUMX euros, aurait constitué, lorsqu'il n'est pas utilisé autrement au cours de l'année, une économie qui ne peut pas être utilisée autrement et, par conséquent, destinée à périr.

Il est également rappelé qu'afin d'assurer la plus grande rapidité des interventions prévues par le décret-loi, le Ministère de l'Éducation et du Mérite a lancé une procédure exceptionnelle et extraordinaire visant à obtenir une avance de fonds de la Banque d'Italie, qui a permis, à compter du 20 juin 2023 (donc avant la conversion du décret-loi du 1er juin 2023, n. 61 en loi du 31 juillet 2023, n. 100), de recevoir immédiatement les ressources financières qui leur sont destinées pour assurer immédiatement et efficacement soutien.

Le MIM revient pour préciser l'origine des fonds pour le financement du décret législatif "Caivano"