La présidence nigériane négociera la libération des filles 110 enlevées par Dapchi le mois dernier

La présidence du Nigeria a annoncé son intention de négocier la libération des fillettes 110 enlevées le mois dernier d'une école dans la ville de Dapchi, au nord-est du pays, évitant ainsi d'utiliser l'option militaire.

Le président Muhammadu Buhari a discuté de cette solution dans une réunion à huis clos dans la capitale Abuja avec le secrétaire d'Etat américain Rex Tillerson, au Nigeria pour la dernière étape d'une tournée d'une semaine faite dans les cinq pays africains.

Le Nigéria est aux prises avec une insurrection du groupe jihadiste Boko Haram qui, depuis 2009, a tué au moins 20.000 19 personnes. Des membres du groupe sont soupçonnés d'avoir enlevé les filles le XNUMX février, dans l'État de Yobe.

«Le président Buhari a ajouté que le Nigéria travaillait avec les organisations internationales et les négociateurs pour s'assurer que les filles soient libérées indemnes par leurs ravisseurs», a déclaré la présidence dans un communiqué du porte-parole de Buhari.

L'enlèvement est l'un des plus importants depuis que Boko Haram a kidnappé plus de 270 que des étudiantes de la ville de Chibok, au nord-est du 2014. A propos de 100 de filles Chibok sont toujours détenus, bien que certains d'entre eux ont été libérés sur le paiement d'une rançon.

La présidence nigériane négociera la libération des filles 110 enlevées par Dapchi le mois dernier