Le sommet de la majorité de ce matin a résolu les dernières questions liées à la méga sur les pensions et les revenus de citoyenneté. Palazzo Chigi fait savoir que toutes les ressources sont disponibles pour un quota de 100 et pour la subvention et le Conseil des ministres convoqué ce soir à 18 ans pourra lancer la provision. Feu vert également aux allocations pour l'indemnité de départ des employés de l'Etat à l'avance pour tous et pour le fonds de vol Alitalia. Le vice-Premier ministre Luigi Di Maio se réjouit: "Un jour important, il rapporte des années de batailles dans les M5".
Le Premier ministre Giuseppe Conte sur le profil Facebook de ce matin a annoncé l'importance du Conseil des ministres:
"Tant d'engagements m'attendent. Tout d'abord, nous aurons un conseil des ministres très important. Nous approuverons le décret qui contient les deux mesures clés de ce gouvernement: le revenu de citoyenneté et le quota 100, mesures que de nombreux Italiens attendent depuis longtemps et qui deviendront enfin des lois d'État »
Il Sole24Ore a anticipé certains détails sur lesquels les deux mesures seront établies. On parle donc d'un contrôle mensuel des nouvelles dépenses liées au «quota 100» et «option femme». 200 millions à remodeler sur les revenus de citoyenneté également en fonction du renforcement des pensions d'invalidité.
Cette clause servirait à assurer un suivi mensuel de l'évolution du «quota 100» et de l'option féminine. Il faut rappeler que, après le maxi-amendement à la manœuvre convenu avec Bruxelles, la dot de trois ans pour les deux mesures a été réduite de 46 milliards: 2,7 milliards de moins sur les retraites et 1,9 sur les revenus de citoyenneté. Mais la réduction n'est concentrée qu'en 2019, les années suivantes, l'allocation pour les pensions augmente par rapport à la première version de la manœuvre, tandis que celle sur les revenus de citoyenneté est réduite. Au cours des trois premières années, environ 21 milliards seront dépensés pour de nouvelles pensions anticipées, tandis que 17 milliards seront consacrés aux pensions de revenu et de citoyenneté, en plus des ressources déjà prévues pour Rei et Inclusion Income.
Un autre nœud est la règle sur la "banchizzazione" du TFR / TFS, ou la possibilité d'une avance financière de la liquidation de l'Etat qui prendra sa retraite cette année. Un autre point "douloureux" est l'étude d'une règle qui redéfinit le calcul de l'allocation de pension des syndicalistes et, là encore, en tant que "quota 100", des impacts sur la durée de certaines fonctions publiques, à commencer par la justice et le secteur de la sécurité, pour lesquels On ne s'attend pas à un quota de 100.