Terrorisme: un Algérien à Pompéi contre les barrières protectrices, a évité un massacre

Haute tension en Italie pour les vacances de Pâques. Renforcer les mesures de sécurité dans toute l'Italie où 10000 21 hommes supplémentaires pour la capitale renforceront le système de sécurité, y compris l'armée. A Pompéi, par pur hasard, le massacre dans une zone à forte densité de fidèles chrétiens a été évité. Sous l'influence de substances psychotropes et au volant, contre la circulation, une voiture volée dans une zone piétonne densément fréquentée par les chrétiens en raison de la présence d'un sanctuaire marial: elle présente toutes les caractéristiques du «loup solitaire» Othman Jridi, l'Algérien Un jeune de 14 ans qui, lundi dernier, à Pompéi, a déclenché l'alerte de la police après avoir atteint la place devant la basilique à bord d'une Fiat Panda qu'il avait volée quelques heures plus tôt à Terzigno, dans la région du Vésuve. Des modalités djihadistes - déjà reconnues dans d'autres villes européennes comme Nice et Londres, où de graves attentats terroristes ont eu lieu - qui ont incité le procureur de Torre Annunziata (Naples) à envoyer les documents de l'incident au pool antiterroriste du parquet Napolitain. L'Algérien a été rattrapé par les carabiniers immédiatement après les faits, grâce au rapport de la police municipale: les militaires l'ont bloqué alors qu'il tentait de se fondre dans un bus. Lors du procès direct, tenu le lendemain, le juge unique du tribunal de Torre Annunziata l'a condamné à deux ans et quatre mois de prison (pour vol et fausses déclarations); il a laissé au juge d'instruction la décision de transmettre ou non les documents au pool antiterroriste de Naples, pour tout complément d'information. Dans les prochaines heures, le procureur enverra les documents à Naples où le procureur adjoint Maurizio De Marco décidera s'il convient d'organiser de nouvelles enquêtes. D'après ce qui est ressorti des enquêtes, Othman Jridi est sans abri; lundi à XNUMX heures, il a volé une Fiat Panda à Terzigno qu'il a ensuite utilisée, deux heures plus tard, pour traverser via Lepanto à Pompéi, jusqu'à la place devant la basilique, sans trouver d'obstacles à la praticabilité des voitures (bacs à fleurs et barrières) supprimé pour faciliter la mise en place d'une scène pour la Via Crucis de Pâques. Le jeune homme a été remarqué par la police de la circulation qui a tenté de le bloquer. Néanmoins Jridi réussit à s'échapper, tandis que les agents sonnaient l'alarme. Les carabiniers l'ont arrêté dans un bus. Il a menti aux forces de l'ordre au sujet de son adresse résidentielle où il a été emmené dans le cadre de l'enquête. Il a chuchoté à l'homme retrouvé dans la maison, en arabe, pour confirmer sa version des événements, tentative découverte grâce à la présence d'un interprète. Au cours du procès, l'Algérien s'est montré peu lucide; il a admis avoir pris des substances psychotropes, avant de conduire, pour «se sentir plus proche d'Allah». Puis lors de l'audience, il a récité une litanie en arabe. A l'issue de la procédure, le juge a opté pour la détention en prison.

Terrorisme: un Algérien à Pompéi contre les barrières protectrices, a évité un massacre

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